- Conversation digitale
Conversation digitale
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Conversation digitale
1 h en live (zoom)
inscription : [email protected]
Présentation de l'exposition :
Elle était une pionnière. Il est donc naturel que Gabrielle Chanel inaugure les nouvelles galeries du Palais Galliera près du Trocadéro, après plus de deux ans de travaux d’extension.
60 ans de mode
Dans la première retrospective qui la consacre, le musée de la Mode de la Ville de Paris expose 350 pièces emblématiques de la couturière française née à Saumur en 1883, de sa marinière en jersey de 1916 aux petites robes noires des années 1920, sans oublier les escarpins bicolores, les sacs matelassés, les sautoirs siglés…
Le tailleur en tweed gansé imaginé en 1954 reste sa création la plus représentative, avec sa veste légère comme un cardigan et sa jupe simplement posée sur les hanches, libérant la taille, privilégiant un confort réservé aux hommes. Dans sa maison de couture rue Cambon à Paris, l’ex-chanteuse de cafés devenue prêtresse du chic a ignoré les artifices étouffant les silhouettes pour les remplacer par des lignes épurées, des couleurs neutres.
La bijouterie est le seul domaine où elle s’est autorisé une certaine exubérance. Ses pièces sont devenues indispensables pour les férues de modes d’hier et d’aujourd’hui.
La femme française
Jusqu’à sa mort en 1971, « Coco » Chanel était le visage de sa marque, mais aussi celui de la France en noir et beige, avec ses zones d’ombres (le rapport ambigu aux Allemands durant la Seconde Guerre mondiale) et de lumière, faisant rayonner l’idéal de la femme française dans le monde, laissant dans son sillage une délicate effluve de N°5, un parfum révolutionnant tous les codes de la parfumerie par son flacon et sa composition complexe inédite (80 composants) lors de sa création en 1921.
Cette exposition est une promenade élégante dans les pas d’une personnalité complexe et fascinante, dandy et sportive, qui créa avec des tissus souples et des coupes respectueuses de l’anatomie féminine, un style raffiné, subtil, et atemporel pour des femmes que Chanel voulait libres de leurs mouvements, esclaves ni des hommes ni de la mode.
1 h en live (zoom)
inscription : [email protected]
Présentation de l'exposition :
Elle était une pionnière. Il est donc naturel que Gabrielle Chanel inaugure les nouvelles galeries du Palais Galliera près du Trocadéro, après plus de deux ans de travaux d’extension.
60 ans de mode
Dans la première retrospective qui la consacre, le musée de la Mode de la Ville de Paris expose 350 pièces emblématiques de la couturière française née à Saumur en 1883, de sa marinière en jersey de 1916 aux petites robes noires des années 1920, sans oublier les escarpins bicolores, les sacs matelassés, les sautoirs siglés…
Le tailleur en tweed gansé imaginé en 1954 reste sa création la plus représentative, avec sa veste légère comme un cardigan et sa jupe simplement posée sur les hanches, libérant la taille, privilégiant un confort réservé aux hommes. Dans sa maison de couture rue Cambon à Paris, l’ex-chanteuse de cafés devenue prêtresse du chic a ignoré les artifices étouffant les silhouettes pour les remplacer par des lignes épurées, des couleurs neutres.
La bijouterie est le seul domaine où elle s’est autorisé une certaine exubérance. Ses pièces sont devenues indispensables pour les férues de modes d’hier et d’aujourd’hui.
La femme française
Jusqu’à sa mort en 1971, « Coco » Chanel était le visage de sa marque, mais aussi celui de la France en noir et beige, avec ses zones d’ombres (le rapport ambigu aux Allemands durant la Seconde Guerre mondiale) et de lumière, faisant rayonner l’idéal de la femme française dans le monde, laissant dans son sillage une délicate effluve de N°5, un parfum révolutionnant tous les codes de la parfumerie par son flacon et sa composition complexe inédite (80 composants) lors de sa création en 1921.
Cette exposition est une promenade élégante dans les pas d’une personnalité complexe et fascinante, dandy et sportive, qui créa avec des tissus souples et des coupes respectueuses de l’anatomie féminine, un style raffiné, subtil, et atemporel pour des femmes que Chanel voulait libres de leurs mouvements, esclaves ni des hommes ni de la mode.